Quel bilan pour le marché français du Programmatique en 2017 ? Plus de budget investi ? Surement !
Plus de maturité ? Peut-être…
L’EBG et Quantcast nous propose une nouvelle édition de leur baromètre programmatique, pour mémoire ce baromètre est réalisé auprès d’un panel d’annonceur, d’agence et d’éditeurs.
Les enseignements qu’il contient nous permette d’abord d’observer un gap entre les éditeurs et les annonceurs sur le développement du programmatique, si la majorité des annonceurs pensent qu’à terme l’ensemble des inventaires publicitaires sera commercialisé via le programmatique, seul 37% des éditeurs partagent ce point de vue. Les éditeurs sont surement un peu échaudé par le coût global que représente les technologies programmatiques vs la vente en gré à gré ou un adserver seul suffit pour faire le travail.
Au chapitre des arlésiennes, les annonceurs se plaignent toujours d’un manque de transparence des sites sur lesquels sont diffusés les publicités. Que ces derniers n’hésitent surtout pas à intégrer leur propre adserver, à l’image de Foodora, pour y voir plus claire sur ce sujet !
En terme de projet structurant, 43% des annonceurs comptent se lancer dans la réconciliation des données onlines & offlines, via la mise en œuvre de projets de CRM Onboarding. Ce chiffre nous ravi car il est temps que ce type de technologie soit massivement utilisées par les annonceurs pour mieux comprendre la « customer journey » de leurs clients et prospects, mieux mesurer les performances de leurs campagnes et personnaliser leurs actions marketing.
43% des annonceurs comptent se lancer dans la réconciliation des données onlines & offlines, via la mise en oeuvre de projets de CRM Onboarding.
La personnalisation et le cross-device sont les 2 autres opportunités prioritaires identifiées par les annonceurs.
Nous vous laissons découvrir le reste des enseignements dans l’infographie ci-dessous.
Eric Gueilhers